•  On parle de moi... Si si !Et si nous partions dans le sud-ouest ?

    Vive le foie gras du gers, les piquillos, les frites à la graisse d’oie et les tapas ! Envie d’un apéro ? Pas de problème, ce restaurant accueille, à bras ouverts, les gourmets à son bar pour démarrer en douceur un repas qui sera haut en couleurs. Il faut savoir y faire sa place parmi les armoires à glace les weekends et tout particulièrement les soirs de match de rugby … Et oui, toute l’équipe du Stade Rochelais s’y retrouve pour fêter les victoires. Bon plan pour les amateurs du ballon ovale !

    La région du sud-ouest : J’adore ! En y pensant, je m’évade et m'imagine au soleil, à la terrasse d’un café située sur la place d'un sympathique village avec vue sur ces charmantes maisons blanches à volets rouge où les piments d’Espelette s’assèchent tranquillement.
    Pour revivre ses moments délicieux, je conseille vivement un arrêt à la Baïtona lors d’une escapade à La Rochelle. Evidemment, nous ne sommes pas au cœur de la Gascogne ou du Pays Basque lorsqu’on admire les fameuses tours rochelaises. Toutefois, c’est un arrêt obligatoire (parmi une longue liste) et ce sera l’occasion pour vous de goûter de bons produits cuisinés à merveille tout en s'imprégnant de l’esprit convivial de ce lieu si attachant. D’ailleurs rien que de penser à l’Hambur-Gers, une des fameuses spécialités du chef, j’ai envie de me mettre à table …

    Bon voyage et surtout bonne dégustation dans cette petite baraque ("baïtona" en gascon) !

    CS.

    Restaurant Baïtona, 30 rue St Jean du Pérot 17000 La Rochelle, Tél : 05.46.50.07.01, http://www.baitona.fr 

     

     

     

     


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  • J'adore manger !Quelle est votre méthode pour chasser les ondes négatives ?
    A une époque où je vivais sur Caen, j’avais un remède imparable …La Calzone de l’Amalfi !

    En l’honneur d’une lignée italienne paternelle, je ne peux me passer des pâtes mais surtout des pizzas.Telle une droguée à ma ration hebdomadaire, je ne peux faire l’impasse sur ma dose depuis mon plus jeune âge. L’extase ultime de ce rite eût lieu le jour où j’ai posé mon petit derrière sur une chaise de l’Amalfi. Ce haut lieu transalpin vous assurera un voyage dépaysant le temps d’un repas.

    Dès l’entrée, l’accueil du patron annonce la couleur : œil charmeur, accent chantant la romance italienne. Après quelques visites, vous aurez droit à un extra : la poignée de main pour les hommes et pour vous mesdames, deux bises évidemment !

    Je l’annonce d’emblée : la carte ne change jamais. Et à vrai dire peu importe. Pourquoi ? Parce que LA pizza à savourer, l’unique, la divine est la Calzone. Son goût ne ressemble à aucune autre. Cette petite sauce, à base d’ail, délicatement étalée sur le dessus de ce chef d’œuvre fera vibrer, trembler, palpiter vos papilles. Cette Calzone est la perfection de l’art culinaire italien. Je l’aime et la regrette depuis mon départ de la Ville de Caen. Nostalgie quand tu nous tiens…

    L’accueil, le goût mais aussi l’ambiance vous rappelleront le restaurant à la « bonne franquette » italienne. Une déco que l’on pourrait presque qualifier de « kitch » accompagnée d’un brouhaha, symptôme de l’euphorie verbale si caractéristique des ritals.

    Certains n’aimeront pas, moi j’adore. Je me vide la tête et je remplis ma panse avec volupté !

    CS.

    L’Almalfi, 201 r St Jean 14000 CAEN, tél : 02 31 85 33 34.


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    J'adore manger !J'adore manger !J'adore manger !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C’est vrai, les Bretons sont généralement associés aux galettes, aux crêpes et à la bière … La bière ? Oui, le Breton aime (trop ?) la bière et la consomme régulièrement. Mais voilà… en passant du côté de Saint-Malo, j’ai tourné le dos à ces traditions profondément ancrées. J’ai également trahi mes origines normandes … Pardon maman. Allégée de tout cela, j’ai pu m’ouvrir à de nouveaux horizons forts en goût et aux effluves fruités qui réjouissent mes papilles.

    Conseillée par une amie, je pousse la porte de la maison Bordier. De son p’tit nom Jean-Yves, cet artisan du bon goût a tiré sa passion des fromages de parents fromagers (logique !) et a poussé le bouchon un peu plus loin pour aller de la crème au beurre.

    Le savoir-faire de cette maison vous permettra de vivre des moments uniques de dégustation. D’ailleurs, je recommande vivement et prestement le beurre au Piment d’Espelette si bon sur une tartine de pain frais, le vacherin fribourgeois à la note subtile en bouche et CE brie de Meaux un peu coulant qui me laisse un doux souvenir exquis.

    CS

    PS : Une envie subite de fromage, de beurre ou de crème à Saint-Malo ? Pensez Bordier !

     

     


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  • J'adore manger !Visiter Bordeaux, c’est bien ! Visiter Bordeaux tout en mangeant un canelé, c’est mieux !

    Oui, nous sommes au régime… Enfin non : nous sommes vigilants !
    Oui, les goûters sont réservés aux moins de quinze ans.

    MAIS (il y en a toujours un) une fois de temps en temps, juste pour chasser les idées noires et les frustrations, nous avons le droit à une douceur. Une pas dix, hein ?!

    Je me balade tranquille dans Bordeaux quand je tombe nez à nez avec le palais des canelés : Baillardran. Décor divin (des canelés en veux-tu en voilà !), senteurs exquises (des canelés, encore des canelés !), sourires jusqu’aux dents... des vendeuses intérieurement hilares de me voir manger des yeux ces montagnes de plaisir.

    Je préfère personnellement la taille moyenne parmi les trois existantes : ni trop ni trop peu. Parce qu’il ne s’agit surtout pas de réaliser un acte qu’on pourrait regretter, non, non, non. Le meilleur moment ? Lorsqu’on plonge dedans. Une véritable réaction en chaîne : D’abord le croquant du caramel suivi de près par la douceur de la vanille noyée dans l’intérieur onctueux et moelleux de ce prodigieux dessert. Le voyage se termine par une touche de rhum caractéristique de cette spécialité bordelaise.

    Pour la petite histoire, ce péché fût inventé par des religieuses. Ironique non ?
    Je vais donc m’infliger une pénitence (20 minutes de jogging) pour ce sacrilège.

    Visiter, manger, faire du sport... Faut pas nier qu'être au chômage peut aussi nous permettre de passer de bons moments. Sans complexe, aucun.

    CS.

    PS : Si tu passes à Bordeaux ... Pense à Baillardran (non, je n'ai signé aucun contrat de sponsoring mais qu'est-ce que j'aimerais ça !)


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