• J'adore manger !Quelle est votre méthode pour chasser les ondes négatives ?
    A une époque où je vivais sur Caen, j’avais un remède imparable …La Calzone de l’Amalfi !

    En l’honneur d’une lignée italienne paternelle, je ne peux me passer des pâtes mais surtout des pizzas.Telle une droguée à ma ration hebdomadaire, je ne peux faire l’impasse sur ma dose depuis mon plus jeune âge. L’extase ultime de ce rite eût lieu le jour où j’ai posé mon petit derrière sur une chaise de l’Amalfi. Ce haut lieu transalpin vous assurera un voyage dépaysant le temps d’un repas.

    Dès l’entrée, l’accueil du patron annonce la couleur : œil charmeur, accent chantant la romance italienne. Après quelques visites, vous aurez droit à un extra : la poignée de main pour les hommes et pour vous mesdames, deux bises évidemment !

    Je l’annonce d’emblée : la carte ne change jamais. Et à vrai dire peu importe. Pourquoi ? Parce que LA pizza à savourer, l’unique, la divine est la Calzone. Son goût ne ressemble à aucune autre. Cette petite sauce, à base d’ail, délicatement étalée sur le dessus de ce chef d’œuvre fera vibrer, trembler, palpiter vos papilles. Cette Calzone est la perfection de l’art culinaire italien. Je l’aime et la regrette depuis mon départ de la Ville de Caen. Nostalgie quand tu nous tiens…

    L’accueil, le goût mais aussi l’ambiance vous rappelleront le restaurant à la « bonne franquette » italienne. Une déco que l’on pourrait presque qualifier de « kitch » accompagnée d’un brouhaha, symptôme de l’euphorie verbale si caractéristique des ritals.

    Certains n’aimeront pas, moi j’adore. Je me vide la tête et je remplis ma panse avec volupté !

    CS.

    L’Almalfi, 201 r St Jean 14000 CAEN, tél : 02 31 85 33 34.


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  • J'adore manger !Dring Driiiiiiiiing ….

    Zut un appel alors que j’ai la bouche pleine ou les mains savonneuses… Forcément ! Je cours jusqu’au portable en priant que le satellite soit parfaitement aligné avec ma maison histoire de capter au mieux et …

    « Allô ? »

    « Bonjour Madame, société Bidule-Truc, je suis Mme Dupond du service RH. Nous avons bien reçu votre candidature et votre profil nous intéresse. Etes-vous disponible pour répondre à quelques questions ? »

    « Hum… Oui bien sûr… Je vous écoute. »

    Mouais. Enfin, là franchement, elle me prend un peu au dépourvu. Mince… le PC est éteint. J’ai postulé y’a un moment pour ce poste … Qu’est ce que j’avais trouvé comme infos déjà ?
    1 000 questions à la minute. Overdose d’adrénaline.

    « Quel est pour vous le poste idéal ? »
    « Quelle est votre rémunération idéale ? »
    « Vous vivez assez loin de notre siège… Avez-vous prévu un déménagement ? »
    « Pouvez-vous me décrire en quelques mots votre dernier poste ? »

    Bref, 20 minutes de questions en rafale, de concentration extrême, et ? Ben rien d’autre. Cet entretien a eu le mérite d’être court. Il n’a nécessité aucun déplacement de ma part, aucune  question existentielle sur le look, la coiffure ou autre superficialité, aucun stress en amont. Toutefois, il n’est vraiment pas simple d’ajuster ses réponses sans voir les réactions de son interlocuteur. Pas simple non plus de se faire une image de l’entreprise sans venir dans les locaux.

    Un seul conseil : réaliser des recherches sur l’entreprise dès l’envoi de sa candidature afin d’être prêt en toute circonstance. Et oui, le recruteur peut frapper à tout moment !

    CS.


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    J'adore manger !J'adore manger !J'adore manger !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C’est vrai, les Bretons sont généralement associés aux galettes, aux crêpes et à la bière … La bière ? Oui, le Breton aime (trop ?) la bière et la consomme régulièrement. Mais voilà… en passant du côté de Saint-Malo, j’ai tourné le dos à ces traditions profondément ancrées. J’ai également trahi mes origines normandes … Pardon maman. Allégée de tout cela, j’ai pu m’ouvrir à de nouveaux horizons forts en goût et aux effluves fruités qui réjouissent mes papilles.

    Conseillée par une amie, je pousse la porte de la maison Bordier. De son p’tit nom Jean-Yves, cet artisan du bon goût a tiré sa passion des fromages de parents fromagers (logique !) et a poussé le bouchon un peu plus loin pour aller de la crème au beurre.

    Le savoir-faire de cette maison vous permettra de vivre des moments uniques de dégustation. D’ailleurs, je recommande vivement et prestement le beurre au Piment d’Espelette si bon sur une tartine de pain frais, le vacherin fribourgeois à la note subtile en bouche et CE brie de Meaux un peu coulant qui me laisse un doux souvenir exquis.

    CS

    PS : Une envie subite de fromage, de beurre ou de crème à Saint-Malo ? Pensez Bordier !

     

     


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  • J'adore manger !Sans parler de bipolarité, argument favori de nos stars préférées pour excuser leurs écarts de conduite les plus extrêmes, le chômeur connaît régulièrement des variations non-négligeables de son moral.

    Tantôt à son paroxysme, tantôt flirtant avec les tréfonds de l’âme, le « moral » reste volatil et fragile. Ses fluctuations sont les reflets fidèles du nombre d’offres d’emplois parues au matin ou du retour, tant espéré, d’un employeur… Pieds et poings liés, le chômeur se sent comme bercé par les remous du marché l’emploi. Le bien-être est si fuguasse.

    Victime ou acteur ?

    Coupez court à la berceuse culpabilisante. Elle sort tout droit de la bouche de sirènes médisantes dont le but ultime est de blesser l’estime que vous vous portez. Cette estime est votre trésor le plus précieux. A vous de la choyer, de l’entretenir et de la valoriser. A elle seule, elle vous permettra de faire LA différence.

    Courage et persévérance !

     

    CS.

    PS : J'ai demandé et Billizzz a répondu présente ! Je suis bien contente aujourd'hui de publier une illustration spécialement créée sur le thème de mon article. Merci Billyzzz ! Découvrez son site Bilbostory.


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